Il etait une fois (episode 2)

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Lors de mon (bref) passage en France, certain de vous me l'ont réclamé...voici donc l'épisode 2 des aventures des 4 jeunes filles innocentes !
Nous retrouvons donc nos quatre jeunes filles qui, bien qu'encore innocentes, commencent  à comprendre que le sieur Europcar tente de les emberlificoter. Mais Sieur Europcar leur assurant que nenni, elles décident donc d'attendre quelque peu afin de recevoir les preuves picturales que celui-ci promet d'envoyer. Et telle soeur Anne, elles ne voient rien venir ! Le preux chevalier se porte alors à leur secours et s'en va solliciter une audience auprès du sieur Europcar. Son epée et sa prestance impressionne le sieur Europcar qui dés le lendemain fait parvenir des preuves picturales de la forfaiture des jeunes filles. Celles-ci sont tellement flagrantes que je me dois de vous les montrer sur le champ afin d'illustrer mon récit.

96266-1-1-.jpgLa première figure ci-contre. Il suffit d'un peu d'imagination pour constater que celle-ci représente le flanc d'un destrier. Le dommage est avéré et facilement visible à l'oeil nu, puisqu'il suffit d'une réflexion de lumiere jaune pour deviner la trace d'une bosse (ou bien serait-ce un creux ?). Toutefois rien ne prouve que ce soit le destrier utilisé par les jeunes filles. On s'attend donc à pouvoir visualiser sur la deuxième photo le fait que ce soit effectivement le meme destrier...






96266.jpgSur cette photo, les jeunes filles agréent qu'ils s'agit bien du destrier dont elles ont eu l'usage sans toutefois voir le dommage. Heureusement la troisième photo fournie doit réunir ces deux éléments afin de lever les derniers soupcons restant non confirmés à propos de leur culpabilité.









96266-2.jpgMais je crois que cette dernière preuve se passe de commentaire... Serait-ce la meme que la première ? Je n'ai pour ma part pas vu de difference entre les deux photos (et je suis prete à payer une biere a celui qui en trouve plus d'une !).
La morale de cette histoire est : 
- qu'il n'y a toujours pas preuves un tant soit peu tangibles de la réelle culpabilite des jeunes filles, 
- qu'il leur est impossible d'avoir accès à une facture concernant les réparations, 
- que le montant de celles-ci a ete soudainement divisé par deux apres le passage de notre preux chevalier, mais que cela reste cher pour si peu de preuves !
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